SÉDUITE ET ABANDONNÉE ( 1963 )- Pietro Germi

Séduite et abandonnée / sedotta e abbandonata ( 1963 )
Réalisé par : Pietro Germi
Sortie en France : 24/4/1964

Studios : Jean Mermoz
( vf : sous la direction de : Pietro Germi ; dialogue : Josette France )
Avec : lita reccio / line lemercier / paulette dubost / f.rauzena / lhorca / Philippe clair / L.bryonne

J’ai respecté l’orthographe du carton avec ses imprécisions , ajouts et retraits de lettres des comédiens mentionnés.




L.lemercier ( stefania sandrelli= agnese / Agnès ( vf ) ascalone )
F.rauzéna ( saro urzi= don vincenzo ascalone )
L.recio ( lina lagalla= francesca ascalone )
P.clair ( aldo puglisi= giuseppe 'peppino’ califano )
G.ferat ( rocco d’assunta= orlando califano )
M.villalonga ( lola braccini= amalia califano )
C.d’yd ( lando buzzanca= antonio ascalone )
P.dubost ( paola biggio= matilde ascalone )
L.bryonne ( italia spadaro= le cousin carmela ascalone )
S.lhorca ( leopoldo trieste= le baron rizieri zappalà )
P.villé ( salvatore fazio= le prêtre don mariano )
R.bazil ( attilio martella= le magistrat )
M.gudin ( oreste palella= le maréchal de carabiniers polenza )
R.leblond ( adelino campardo= le brigadier bisigato )
H.djanick ( gustavo d’arpe= l’avocat ciarpetta )
J.violette ( vincenzo licata= pasquale profumo )
J.chevalier ( un jeune du village à la terrasse d’un café )
J.marin ( le professeur turzo )
J.berton ( le professeur à longue figure et lunettes )
J.berton ( filippo , client du café )
R.francoeur ( un autre professeur )

Renseignement supplémentaire au carton du générique :
Direction technique : Fernande PINEAU
Ingénieur du son : Louis KIEFFER

Ajouts :

Line [Linette] LEMERCIER : le jeune garçon maintenant son copain penché à la fenêtre du baron (« Oui, m’sieur, il est là.
Courrez, courrez vite, il y a l’ baron qui s’ pend. »)
Noël DARZAL : le chef d’orchestre
Albert MONTIGNY : le prêtre du couvent cachant Peppino Califano
Jean BRUNEL : le villageois entrant dans le café pour annoncer le procès à huis clos de Peppino Califano
Albert MONTIGNY : le vieux client du café (« À huis clos ? (...) Alors. »)